Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
9 février 2012 4 09 /02 /février /2012 17:04

Millenium : les hommes qui n’aimaient pas les femmes (The Girl with the Dragon Tatoo), thriller américain de David Fincher,

Avec Daniel Craig, Rooney Mara, Christopher Plummer, etc.

 

http://www.cinechronicle.com/wp-content/uploads/2011/12/Millenium-de-Fincher-affiche.jpgL’histoire : Mikael Blomkvist, brillant journaliste d’investigation, est engagé par Henrik Vanger, un des plus puissants industriels de Suède, pour enquêter sur la disparition de sa nièce Harriet, survenue 40 ans auparavant. Vanger est convaincu qu’elle a été assassinée par un membre de sa propre famille.
Lisbeth Salander, jeune femme rebelle mais enquêtrice exceptionnelle, est chargée de se renseigner sur Blomkvist, ce qui va finalement la conduire à travailler avec lui.
Entre la jeune femme perturbée qui se méfie de tout le monde et le journaliste tenace, un lien de confiance fragile va se nouer. Ils se retrouvent bientôt plongés au cœur des secrets et des haines familiales, des scandales financiers et des crimes les plus barbares…

 

Mon avis : Après Millenium le livre, et Millenium le film suédois, voici Millenium le « remake » américain. Car évidemment, nos amis d’outre-Atlantique ne sauraient tolérer un film en suédois sous-titré anglais, qui plus est au casting peuplé d’inconnus au bataillon. L’histoire se passe donc toujours en Suède, les personnages ont toujours des noms à coucher dehors (et parfois même une pointe d’accent), mais ils parlent anglais, et surtout, on reconnait le visage buriné de Daniel Craig (aka James Bond).

 

Le film démarre très vite : Henrik reçoit sa fleur annuelle, et nous passons au générique : très graphique, avec une musique tonitruante, n’ayant finalement rien à voir avec la choucroute, c’est qu’on s’y croirait dans un James Bond. La suite est plus conventionnelle : on retrouve tous les passages du bouquin, et mêmes plusieurs négligés par le film suédois. Mais dans l’ensemble, il faut avouer que cette version américaine n’apporte pas grand-chose comparé à la version suédoise, à part côté bande-son : celle de Fincher est oppressante comme il se doit, quand j’ai souvenir d’un film très silencieux pour Niels Arden Oplev.

 

Les deux autres tomes de la trilogie devraient également être adaptés par la même équipe (la Suéde, quand à elle, avait produit deux téléfilms que Canal+ avait remonté en minisérie). Je me demande si j’aimerais mieux La Fille qui rêvait d'un bidon d'essence et d'une allumette au cinéma qu’en bouquin

 

L'avez-vous vu ? Préférez-vous la version suédoise, américaine, ou tout simplement les livres ?

Partager cet article
Repost0
7 février 2012 2 07 /02 /février /2012 19:16

 

 

 

Le Maxi Monster Music Show au Palace à Paris le 6 février 2012


http://toutelaculture.com/wp-content/uploads/2012/01/maxi-monster-show-palace.jpgLe Maxi Monster Music Show est une version cabaret de freaks (phénomènes de foire) du groupe Le Maximum Kouette : nous y trouvons le fakir assomniaque San Kardam, la femme-tronc Miss Gabrielle, l’homme-femme Juanita de Panama, l’homme fort Raymond Butor, l’étoile filée du Bolshoï Olga Nounouchka Bravinski, l’ange noir Axel de la Rose, et la poupée barbue Gina Trapzina (présentation ici) ! Cette fois-ci, le spectacle est mis en scène par Juliette (auteur, compositeur, interprète, elle a notamment écrit la célèbre Femme Chocolat d’Olivia Ruiz).


Comme d’habitude, le Maxi Monster nous propose un concert rythmé qui fait se trémousser sur son fauteuil, le tout agrémenté de numéros de ce cirque de l’étrange, drôles et décalés. C’est la deuxième fois que je vois le groupe sur scène en version cabaret (et je les avais vu une fois en version Maximum Kouette) et c’est toujours autant un plaisir. Le groupe part en tournée dans toute la France, n’hésitez pas s’ils passent près de chez vous !

Partager cet article
Repost0
2 février 2012 4 02 /02 /février /2012 20:18

Si le nom de Lana Del Rey ne vous dit rien, c’est que vous êtes parmi les très rares personnes rares à être passé à côté du gros buzz musical de ces derniers mois.


La petite histoire (pour ceux qui ne sont pas au courant) : Il y a quelques semaines, Internet entre en ébullition en découvrant cette vidéo : Video Games. Tout le monde tombe immédiatement sous le charme de la voix suave de Lana, et tous les bobos/hipsters se  refilent le clip en annonçant qu’une nouvelle star est née.

http://alteredidentity.com/wp-content/uploads/2012/01/lana-del-rey.jpgEt puis, presque aussi rapidement qu’ils l’avaient mise sur un piédestal, les internautes se sont mis à vilipender la mystérieuse chanteuse sortie de nulle part. En effet, il ne leur a pas fallu longtemps pour découvrir que derrière le pseudonyme de Lana Del Rey se cachait en fait une certaine Lizzy Grant, dont presque toute trace a été pourtant soigneusement effacée de la toile. Presque toute trace, car il reste encore cette vidéo : Variety Box. On y découvre une demoiselle bien moins glamour : la voix est déjà là, mais la timidité est dévorante, et le charisme fait clairement défaut. On hurle au scandale : Lizzy s’est inventé un personnage sexy et s’est même probablement fait refaire les lèvres, un manque d’authenticité que les bobos ne sauraient souffrir. La chute est d’autant plus violente quand Lizzy/Lana apparait au Saturday Night Live : Blue Jeans. Non seulement elle n’est toujours pas à l’aise en public, mais par-dessus le marché, la voix est très mal placée.


Mon avis : A la limite, peu me chaut si Lizzy a besoin de Lana et de collagène pour se faire une image – après tout, on a les stars qu’on mérite, et il est clair que la Lizzy qui chantait en T-shirt informe sur la scène du Variety Box avait peu de chance de se placer en tête du Top 50 dans la société actuelle. D’ailleurs, elle ne serait pas la première à s’inventer un alter-ego pour monter sur scène. Tout comme Lizzy, une certaine Amy Winehouse avait fait un bide en son temps avec son tout premier album : elle n’a rencontré le succès qu’après avoir commencé les choucroutes capillaires, l’overdose d’eye-liner et, à ses dépends, d’alcools forts et de drogues.


Je me suis donc surtout intéressée à la musique, parce qu’au fond c’est quand même de ça qu’on parle. Je ne recommande pas de s’attarder sur le premier album, celui sorti sous le nom de Lizzy Grant : mélodie kitsch, style non abouti, je n’y ai trouvé aucun charme.


http://img.musiquemag.fr/datas/artiste/l/a/lana-del-rey/xl/lana-del-rey-pochett-4f0c2c4b8e0cc.jpgLe second, Born to Die, a quelques pistes sympathiques avec de belles mélodies, un bon style, une jolie voix. Mais j’ai plusieurs reproches à faire. D’abord, j’ai horreur des filles qui prennent une voix de bébé pour jouer les Lolita sexy, et Lana utilise énormément ce procédé. Je me fiche que ça lui vienne naturellement ou pas : ça m’énerve. Tu as 25 ans, pas 5, c’est ridicule. Ensuite, je n’aime pas les chansons « r’n’b-isées » (National Anthem, Diet Montain Dew), un style qui ne lui va pas du tout : une voix de bébé + un style de racaille = ridicule à tous les étages. Enfin, si Lana a une fort jolie voix, je trouve qu’elle l’utilise de manière complètement plate et sans transmettre aucun sentiment. Elle nous parle de son amour inconditionnel pour un  héroïnomane (Blue Jeans) avec autant d’émotions que si elle chantait que le ciel est bleu, et nous raconte la mort de l’être aimé (Dark Paradise) comme elle raconterait son dernier week-end à la Baule. Bref, ça manque un peu de « cojones » comme disait en son temps Marianne James à la Nouvelle Star.


Et vous, avez-vous eu vent du buzz autour de Lana Del Rey ? Etes-vous dans les camps des amoureusement pour, ou des férocement contre ? Peut-être même êtes-vous comme beaucoup passé de l’un à l’autre ? Racontez-moi ça !

Partager cet article
Repost0
27 janvier 2012 5 27 /01 /janvier /2012 19:02

The Descendants, comédie dramatique américaine d’Alexander Payne
Avec George Clooney, Shailene Woodley, Amara Miller, …

http://media.rtl2.fr/online/image/2012/0124/7742667333_the-descendants.jpgL’histoire : A Hawaii, la vie d’une famille bascule. Sa femme étant dans le coma suite à un accident de bateau, Matt King tente maladroitement de se rapprocher de ses deux filles, Scottie et Alexandra. Il jongle en même temps avec ses nombreux cousins, en pleines négociations pour vendre les magnifiques terres vierges héritées de leurs ancêtres hawaiiens. Quand Alexandra lui révèle que sa mère avait une liaison, le monde de Matt vacille. Avec ses deux filles, il part à la recherche de l’amant de sa femme. Durant une semaine essentielle, au fil de rencontres tour à tour drôles, perturbantes et révélatrices, il va finalement prendre conscience que sa principale préoccupation est de reconstruire sa vie et sa famille…

Mon avis : Le film commence lentement : guidés par la voix off de George Clonney, le spectateur découvre Matt King, sa famille, et les deux nœuds de l’histoire : le coma de son épouse et la vente de ses terres familiales. On se demande d’ailleurs un peu comment les deux vont se lier, comment le destin de l’un va, d’une certaine manière, influer sur le destin de l’autre.

Et puis on se laisse porter par cette sorte de quête à la fois comique et dramatique, très bien assumée par George Clooney : lui qui alterne entre le sérieux des films politiques (Good Night and Good Luck, ou plus récemment Les Marches du pouvoir) et les bouffonneries des comédies (O’Brother, Burn After Reading, Les Chèvres du Pentagone) sait subtilement manier les deux en même temps dans ce film qui passe du rire aux larmes si facilement. Les deux jeunes filles sont également très convaincantes, en particulier la plus jeune qui est très naturelle.

C’est un film très sympathique que je recommande plutôt.

A noter qu’il est nommé 3 fois aux Oscars, dans la catégorie "meilleur film" (face, entres autres, à  The Artist, Hugo Cabret, et Minuit à Paris), "meilleur réalisateur" pour Alexander Payne (face, entres autres, aux réalisateurs du même trio de films), et "meilleur acteur" pour George Clooney (face, entres autres, à Jean Dujardin pour The Artist, très nommé).

 

Avez-vous vu ces films ? Avez-vous des pronostics, des préférences ?

Partager cet article
Repost0
18 janvier 2012 3 18 /01 /janvier /2012 18:30

La Colline aux coquelicots, film d’animation japonais de Goro Miyazaki (Studio Ghibli)
Avec les voix en VO de : Masami Nagasawa, Junichi Okada, Haruka Shiraishi, Keiko Takeshita, …
Avec les voix en VF de : Alexandra Garijo, Rémi Bichet, Rémi Caillebot, Pauline Brunner, …

http://marvelll.fr/wp-content/gallery/la-colline-aux-coquelicots/affiche-la-colline-aux-coquelicots-kokuriko-zaka-kara.jpgL’histoire : Yokohama, 1963. Umi est une jeune lycéenne qui vit dans une vieille bâtisse perchée au sommet d’une colline surplombant le port. Chaque matin, en hommage à son père disparu en mer, elle hisse des pavillons face à la baie. Dans le journal du lycée, quelqu’un a même écrit un poème sur cet émouvant signal. C’est peut-être l’intrépide Shun, le séduisant jeune homme qu’Umi n’a pas manqué de remarquer. Attirés l’un par l’autre, les deux jeunes gens vont partager de plus en plus d’activités…

Mon avis : Voici donc le deuxième film de Goro Miyazaki, fils d’Hayao Miyazaki (Mon Voisin Totoro, Le Voyage de Chihiro, ou plus récemment Ponyo sur la falaise). Après le loupé qu’était sa première tentative, Les Contes de Terremer, on est content de constater que Goro a progressé. Le propos est plus consistant, et l’histoire moins brouillonne (il faut dire que c’est le papa, enfin réconcilié avec son fils, qui s’est collé au scénario, avec Keiko Niwa).

Cependant, La Colline aux coquelicots n’est pas un chef d’œuvre comme le Studio Ghibli a su nous en concocter par le passé, ne serait-ce que par la légèreté de son propos : il est adapté du manga de Chizuru Takahashi et Tetsurô Sayama (éditions Delcourt), qui est un « shojo », c’est-à-dire qu’il cible plutôt les jeunes filles pré-ado et ado. Nous avons donc affaire à une histoire d’amour adolescente très pudique, qui donne un air « gentillet » à ce film, dont l’intérêt réside plutôt pour moi dans la représentation du Japon des années 60.

Le film regorge en effet de petits détails sur la vie de tous les jours à travers les tâches ménagères qu’Umi doit effectuer chez elle, et de références subtiles à l'évolution de la société nippone à cette époque : encore traumatisée par la fin de la deuxième guerre mondiale et la guerre de Corée, tentant de faire table rase de ce passé pour entrer dans la modernité. Par ailleurs, on appréciera aussi le graphisme, qui est très joli (quoique copiant encore abondement le style paternel), mais le bât blesse un peu sur l’animation, que j’ai trouvée franchement ratée sur certains passages.
Au final, je trouve personnellement qu’il manque encore un petit quelque chose pour que Goro se fasse vraiment un prénom…

Autre film du même studio : Arrietty, Le Petit monde des chapardeurs

Partager cet article
Repost0
16 janvier 2012 1 16 /01 /janvier /2012 19:20

Concert d’AaRON, accompagné du Jeune Chœur de Paris et d’un ensemble de cuivres, à la salle Pleyel à Paris, le 15 janvier 2012.

Première partie : Rover
Seul sur scène avec sa guitare et sa voix si particulière, Rover propose des balades originales. J’ai eu du mal à entrer dedans au départ, mais je pense que c’est un artiste à surveiller. A découvrir ici.

Setlist : encore une fois, impossible à trouver ! Mais vous pourrez la reconstituer vous-même (moi, j’ai eu la flemme) en découvrant le concert sur www.arteliveweb.com ou www.citedelamusiquelive.tv (disponible pendant 4 mois).

 

aaron pleyel 15janvier2012

 

Mon expérience : c’était mon deuxième concert d’AaRON après le Casino il y a un peu plus d’un an. Cette fois ci, salle Pleyel oblige, le groupe était accompagné de 3 trombones et des huit chanteurs du Jeune Chœur de Paris, pour proposer une nouvelle orchestration de leurs morceaux.

 

Le concert était vraiment très sympa (il aura pu l’être plus, si le connard à côté de moi avait accepté de se décaler pour que Monnômme soit à côté de moi, lui ayant obtenu une place jeune au fond de la salle, et moi étant plus devant, ayant dû raquer comme une vieille pas-jeune parce que le site de Pleyel a planté comme une merde quand j’ai essayé de réserver mes places jeunes… bref), même si le public de la salle Pleyel s’est montré timide au premier abord : au départ il a fallu que le groupe le leur demande pour qu’ils se lèvent, puis ils s’empressaient de se rassoir très vite, comme s’ils avaient peur que leurs sièges s’envolent si leurs grosses fesses n’étaient pas posées dessus (je vous ai déjà expliqué que je n’aimais pas les gens ?).

 

Bref, le groupe AaRON me plait vraiment beaucoup sur scène, et c’est définitivement une expérience à refaire sur une prochaine tournée.

Autres articles sur AaRON :
Birds in the Storm
AaRON @ Casino de Paris 15/12/2010

Partager cet article
Repost0
12 janvier 2012 4 12 /01 /janvier /2012 19:18

http://www.lepublieur.com/evement/livreOT/arret_image/couvo.gifAllah n’y est pour rien, Emmanuel Todd sur les révolutions arabes… et quelques autres, d’arretsurimages.net

Le concept : Transcription de l’interview d’Emmanuel Todd par l’équipe d’arrêtsurimage.net (Daniel Schneidermann et Anne-Sophie Jacques) le 4 mars 2011 : l’auteur du Rendez-vous des civilisations y donnait sa lecture des révolutions tunisiennes et égyptiennes.

Mon avis : Loin des clichés habituels français sur l’incapacité des musulmans à entrer dans la modernité du fait de leur religion, Emmanuel Todd expose une grille de lecture fondée plutôt sur des chiffres … ceux de la démographie. C’est étonnant, mais ça marche vraiment bien ! On y trouve des explications très crédibles sur les pays qui sont prêts ou non, et sur les soubresauts qui suivent ce genre de mouvements. Même quelques mois plus tard, alors que l’actualité a évolué, c’est une mise en bouche que je recommande chaleureusement. Et je dis mise en bouche car ça donne surtout envie de se plonger dans le bouquin à l’origine de l’interview, pour en découvrir encore un peu plus...

Partager cet article
Repost0
7 janvier 2012 6 07 /01 /janvier /2012 20:50

Pour ce premier article de l’année 2012 je vais vous parler… de bouffe. Oui, je sais, c’est peut-être pas le bon moment, à la sortie des fêtes, en pleine galette, on se voit peut-être pas aller au resto. Mais que vous dire, je ne suis pas inspirée en ce début d’année, et j’écris donc sur ce « sujet de secours » que j’avais sous le coude : les restos « qui changent » à Paris (oui parce que Bourg-la-Reine ou la Queue-en-Brie, je connais moins bien).


Oui parce que les faux japonais, les italiens, et les steaks-frites de bistro, ça va bien 5 minutes : quelque fois on a envie de faire un peu plus original, mais on ne sait pas trop quoi, où, et on ne sait du coup pas trop sur quoi on va tomber…


Voici donc ma sélection de 3 restos sympa et un peu différents, proposant de la cuisine de 3 continents différents...


1 – La Cucaracha (Mexicain)


La Cucaracha

31 rue Tiquetonne

M° Etienne Marcel

01 40 26 68 36

lacucaracha.fr

 

La cuisine mexicaine, c’est quoi ? On a l’impression qu’on ne connait pas, et pourtant, elle regorge de « classiques » : le guacamole, les fajitas, les burritos, les enchiladas, les tacos, … tous tellement meilleurs faits-maison et frais !

 

http://www.parisbestrestaurants.com/img/items/la-cucaracha-restaurant-paris.jpg


Pour aller plus loin, il y a toutes les spécialités de poulets épicés, servis avec du riz et des haricots rouges, et celui qu’il faut tester, c’est le Mole Poblano : le poulet… au cacao et 39 épices. Le tout arrosé de piña colada, évidemment. Le cadre est original, les quantités sont très généreuses et le personnel adorable.

 

2 – Le Sawa (Africain)

 

Le Sawa

196 avenue du Maine

M° Denfert-Rocherau

01.45.43.12.88

sawa.fr

 

http://www.sawa.fr/Photos/Mafe%202.jpg

 

La cuisine africaine, en voilà une qui n’est pas très représentée à Paris. Et pourtant, quel délice ! Des spécialités de poulet du Sénégal ou du Cameroun,  des plats du Mali ou de la Côte d’Ivoire, et il y en a même pour les végétariens. Le cadre est agréable et le personnel sympa.

 

3 – Soura (Coréen)

 

Soura

7 rue Ernest Cresson

M° Mouton-Duvernet

01 45 41 71 55

 

http://a4.idata.over-blog.com/430x301/2/40/49/88/R-pertoire-2/3/Soura-3.JPG

 

La cuisine coréenne a une grande spécialité : la viande « au feu », c'est-à-dire de la viande marinée puis cuite au « barbecue coréen ». Malheureusement, un peu comme les restaurants soi-disant japonais, les faux barbecues coréens commencent à pulluler à Paris. Celui-ci est plutôt pas mal.

 

 

Et voilà, bon appétit !

Ha oui, et bonne année !

Partager cet article
Repost0
31 décembre 2011 6 31 /12 /décembre /2011 13:59

Hugo Cabret, film d’aventure américain de Martin Scorsese

Avec Asa Butterfield, Chloé Moretz, Ben Kingsley, Sacha Baron Cohen, Christopher Lee…

 

L’histoire : Hugo Cabret vit seul dans une gare parisienne : il y remonte les horloges pour son oncle Claude depuis que son père est mort. Sur son temps libre, il tente de réparer un mystérieux automate que son père avait déniché. Mais il lui manque une clé pour le mettre en route. Tout bascule lorsqu’il rencontre Isabella…

 

http://www.filmsfix.com/wp-content/uploads/2011/10/Hugo-Cabret-Affiche-1-750x1000.jpgMon avis : La première partie du film m’a plutôt ravie. D’abord, les acteurs sont excellents, mêmes les mômes, pas horripilants pour deux sous (c’est assez rare pour mériter d’être souligné). Ensuite, l’image est magnifique : c’est une des meilleures utilisations de la 3D que j’ai vu depuis longtemps (et ceux qui me lisent souvent savent bien que je suis la première à me plaindre de la 3D-gadget). Et enfin, l’histoire m’a plutôt émerveillée… du moins jusqu’à la moitié.

 

Là, les choses se sont gâtées. Je ne sais pas comment le dire sans trop spoiler le film pour tout le monde, mais disons que Martin Scorsese pense avant tout au grand public américain, et nous détaille donc par le menu des choses qui sont d’une évidence totale pour moi, et je suppose (j’espère) pour tout les gens dotés d’un tant soit peu de culture. Bref, pour moi, dans cette deuxième partie, il n’y avait plus de mystère du tout, et du coup le temps m’a paru bien long (le film fait quand même ses deux bonnes heures). Sans compter les deux scènes de rêves totalement gratuites qui ont rallongé la sauce de manière totalement inutile (et bon sang, va falloir qu’Hollywood arrête de nous resservir sans cesse ce vieux gimmick du rêve dans le rêve, absolument personne ne fait jamais de rêves emboités comme ça).

 

Bref, dans l’ensemble c’est un film sympathique, mais malheureusement un peu trop hollywoodien pour moi…

 

Sur ce, je vous souhaite un bon réveillon ce soir, et à l'année prochaine !

Partager cet article
Repost0
29 décembre 2011 4 29 /12 /décembre /2011 14:16

http://www.boneville.com/wp-content/uploads/BONE%20OVE%20Poster.jpgBone, comics de Jeff Smith

 

L’histoire : Les trois cousins Phoncible P. "Phoney" Bone, Smiley Bone et Fone Bone sont chassés de leur ville Boneville lorsqu’une énième arnaque de Phoney tourne à la catastrophe. Perdus dans le désert, ils sont séparés par une nuée de sauterelles, et arrivent dans la mystérieuse Vallée. Fone y fait la connaissance de la jolie Thorn et de son extravagante Mamie Ben, ainsi que des cruels rats-garous (« rat creatures » en VO). Mais le Grand Dragon Rouge l’a suivi dans la vallée…

 

Mon avis : une saga épique racontée comme un « comic-strip », voilà un point de départ original. Couvrant 55 tomes (ou une intégrale de … 1332 pages), Bone mélange parfois dans la même page des aventures folles et des gags les plus loufoques. Une lecture à la fois passionnante et légère que je recommande chaleureusement.

http://forbiddenplanet.co.uk/blog/wp-content/uploads/2010/02/bone1_p39.gif

Partager cet article
Repost0

Au Programme Ce Soir

  • : Au programme ce soir
  • : Vous ne savez pas quoi faire de votre soirée, votre week-end, vos vacances ? Vous trouverez peut-être ici quelques idées ! Je partage ici mon avis et mes recommandations, sans prétention, sur mes sorties cinéma, théâtre, musique, concert, restaurant, voyage, mais aussi sur mes lectures et mes séries, et bien d'autres choses encore !
  • Contact

Rechercher

Tous Les Articles

Articles Par Catégories