Muse @ Garden Nef Party, Angoulême, 20/07/2007

Muse à la Garden Nef Party d’Angoulême, le 20 juillet 2007

Première partie : inconnue

Et oui, finalement, il n’aura pas fallu tant de temps que ça pour revoir le trio du Devon ! À la sortie du boulot, j’ai donc fait 5 heures de route avec Caty et un ami à elle avant d’attendre le parc des expos où les festivaliers se devaient de garer leurs voitures et de prendre le bus pour le festival, qui est en pleine campagne. L’organisation est super bien que ce soit un festival tout jeune (deuxième édition). Il y a parait-il 11 000 personnes sur la pelouse devant la scène, des locaux et quelques fans de Muse qui ont fait le déplacement. Nous avons patienté tranquillement avec une bière en écoutant la première partie, qui était sympathique mais n’a jamais donné son nom, donc je ne sais pas qui s’était. Un de mes amis qui devait nous rejoindre et avait du retard est arrivé juste à temps pour qu’on se jette dans la « fosse » pendant l’installation du podium de Dom et des écrans.

Puis les lumières se sont éteintes, et un morceau de musique classique à présent familier retendit tandis que de la fumée envahit la scène. Dom débarque en patalon vert, Chris en noir comme d’habitude, mais Matt n’arrive pas, bien qu’on entende sa guitare. Il a finalement débarqué en costume rayé noir avec sa guitare noire à écran vert, pour ouvrir sur Take a Bow. Comme d’habitude j’ai commencé à sauté partout en criant les paroles, mais visiblement les locaux sont soit beaucoup plus calmes que les parisiens, soit peu familier de Muse, car il me jette des regards affolés. Mais qu’importe, je profite du concert. Le groupe enchaîne sur Map of the Problematique, à l’issue de quoi Chris s’approche du bord de la scène… à coup sûr, ils vont jouer Hysteria… et ça ne loupe pas ! Après Supermassive Black Hole, Matt s’est assit au piano, un piano noir à couvercle transparent, sur lequel des lumières sont projetées selon les touches que Matt effleure (une idée inspirée de Jean-Michel Jarre parait-il… il faut encore expliquer un certains nombre de chose à Matthew !). Bref, c’est pour Butterflies and Hurricanes que Matt s’est assis au piano. Ensuite, il est allé réglé un problème de guitare avec les roadies tandis que Chris a improvisé à la basse pour meubler. Ensuite Matt revient pour Apocalypse Please et Hoodoo. Comme on s’est retrouvé cernés par des groupies qui criaient « Doooom ! » comme d’autres crient « Patriiiick ! », nous avons bougés plus près de la scène. Matt a ensuite improvisé au piano, ce que j’ai à juste titre anticipé comme une intro à Feeling Good, jouée « à l’ancienne » en jetant des confettis au dessus de sa tête au moment du mégaphone (cf. Hullabaloo). Ensuite Matt a bidouillé une intro à Invincible avant de jouer Starlight et Man of Mystery. Puis pour Time is Running Out, Matt a, comme au Parc des Princes, laissé la foule chanter tout un passage. Ensuite Matt a attrapé sa guitare rouge à paillettes et j’en ai conclu qu’ils allaient jouer New Born (je commence à trop bien les connaître !). Ensuite nous avons eu droit à Stockholm Syndrome avec semble-t-il un problème technique, car il y avait des bruits bizarres.

Enfin pour les rappels, nous avons eu droit à Plug In Baby… avec les ballons de Bliss ! Et pour clôturer, naturellement, Knights of Cydonnia.

Un concert vraiment génial, pendant lequel ils avaient l’air de fort bonne humeur avec toutes ces improvisations. Le son était vraiment limpide et la foule assez calme.

Ce coup-ci, c’est sûr, je les revois pas avant longtemps !

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