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10 avril 2011 7 10 /04 /avril /2011 10:38

 

La Horde du Contrevent, roman fantastique d’Alain Damasio

 

http://multimedia.fnac.com/multimedia/images_produits/ZoomPE/6/6/2/9782070342266.jpgL’histoire : Un groupe d’élite, formé dès l’enfance à faire face, part des confins d’une terre féroce, saignée de rafales, pour aller chercher l’origine du vent. Ils sont vingt-trois, un bloc, un nœud de courage : la Horde. Ils sont piliers, ailier, traceur, aéromaître et géomaître, feuleuse et sourcière, troubadour et scribe. Ils traversent leur monde debout, à pied, en quête d’un Extrême-Amont qui fuit devant eux comme un horizon fou.

 

Mon avis : en voilà un livre qui surprend à bien des titres. Un livre numéroté à reculons, de la page 700à la page 0, remontant comme notre Horde le long de cette « ligne de contre », vers cet Extrême-Amont de légende.

 

Et surtout, un livre à 23 voix, chaque paragraphe annonçant d’un symbole l’identité de notre narrateur : pour Golgoth, le traceur, π pour Pietro, le prince, ou encore ) pour Sov le Scribe. Au début on s’accroche à son marque-page pense-bête comme un naufragé à sa bouée, pour décrypter qui est notre orateur, et puis on s’habitue, on apprend à écouter surtout, car chaque voix est différente.

 

On reconnait le style bourru et grossier de Golgoth, la verve de Caracole le troubadour, la distance froide d’Oroshi, l’aéromaîtresse, qui analyse les neuf formes de ce vent meurtrier qui souffle sans cesse. Des morceaux de bravoures sans cesse dans le style, et une histoire qui prend par les tripes et nous entraîne avec eux sous le furvent, dans les lacs de Lapsanne et le long des couloirs glacés de Norska.

 

Une très belle réussite que je recommande vivement.

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25 février 2011 5 25 /02 /février /2011 11:42

C'est pas souvent que je vous parlerai de politique, ce qui n'est fondamentalement pas l'objectif de ce blog. Mais une fois n'est pas coutume, je me lance, parce que ce bouquin mérite d'être signalé.

 

 

Crise au Sarkozistan, pamphlet satirique d’@rrêt sur images, préface de Daniel Schneidermann

 

Le concept : Tout a commencé par le « coup de gueule » de Viviane Reding lorsque le gouvernement a commencé à cibler « les Roms » en particulier, pour expulsion. Un coup de gueule de David Pujadas, à la messe du 20h, qualifie sobrement de « ton inhabituel ». Pourquoi cette répugnance a appelé les choses par leurs noms, cette absence de regard critique, cette incapacité à creuser la vérité et à la présenter aux téléspectateurs ?


À cette lumière, l’équipe d’@rrêt sur images (version .net et totalement indépendante de feu l’émission de France 5) s’est lancée dans un exercice inhabituel : se placer à l’extérieur, prétendre être un envoyé spécial étranger et ainsi se permettre d’appeler les choses par leurs noms, de soulever les incohérences devenues invisibles et les secrets sur lesquels on ferme les yeux, de dire ce que les autres médias ne disent plus depuis longtemps (et n’ont peut-être jamais dit). D’être un vrai journaliste, en somme.

 

http://www.arretsurimages.net/media/breve/s99/id9803/original.31676.demi.jpg"Une nomenklatura jouissant de nombreux passe-droits, une Justice aux ordres, une police secrète paranoïaque, des brigades d'acclamation convoquées pour les dirigeants, et évidemment des médias muselés : et si, sans le savoir, nous avions basculé dans un étrange État voyou, le Sarkozistan ?"

 

Quelques semaines plus tard, les chroniques sont devenus un livre, Crise au Sarkozistan, publié uniquement sur le web, et atteignant le chiffre étonnant de 15 000 exemplaires en quelques semaines seulement…

 

Mon avis : à travers une douzaine d’articles courts, illustrées de caricatures de nos dirigeants en turbans divers, nous est présenté la France d’une manière radicalement différentes que dans les médias « traditionnels » (presse, télévision, radio). Quelques noms et formules bien trouvées (L’Homme Fort ou le Numéro Un, l’agence officielle, le sérail, un faucon du régime, etc.) et nous voici dans une description qui a une toute autre couleur, et qui rappelle la description habituelle des pays où cette corruption, ces manipulations et ces diverses mascarades méprisantes vont de paires avec l’absence de démocratie et de liberté. On en est naturellement pas là (encore que), mais ça mérite d’être souligné…

 

Que dire de plus ? Il faut le lire pour se rendre compte. Le livre est disponible sur Le Publieur.com (ou en harcelant votre libraire habituel).

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17 février 2011 4 17 /02 /février /2011 14:00

La Fille qui rêvait d’un bidon d’essence et d’une allumette (Millenium 2), roman policier suédois de Stieg Larsson

Traduit du suédois par Lena Grumbach et Marc de Gouvenain

 

L’histoire : tandis que Lisbeth Salander fait le tour du monde avec ses millions volés, Mikael Blomkvist, réhabilité, s’apprête à publier un brulot sur le trafic de femmes en suède. Mais ces deux collaborateurs sont assassinés, et Lisbeth devient la coupable toute désignée…

 

http://www.jgaboriau.fr/htdocs/images/livres/Millenium2.jpgMon avis : Si le tome 1 avait ses faiblesses, il savait quand même captiver avec son enquête policière complexe et troublante. Mais ce tome 2, lui, souffre d’un défaut majeur : il est très, très, très long à se mettre en place. C’est simple, il commence véritablement à la page 230 (sur 653). Que se passe-t-il donc avant ? Pas grand-chose. Lisbeth voyage, Lisbeth fait ses courses à Ikea, Lisbeth va dire bonjour à ses connaissances, Lisbeth tente de résoudre le théorème de Fermat (?!). Bref, une version gothique-asperger de la série Caroline, sans le moindre intérêt.

 

En réalité, si, cette première partie a un intérêt : présenter la thèse des collaborateurs de Mikael sur la prostitution en suède. En fait, cela fait l’effet d’être en réalité le véritable but de la trilogie. En utilisant le prétexte de la fiction, l’auteur (qui était journaliste) s’offre un public bien plus large qu’un de ses articles ou essais journalistiques n’auraient pu le faire. Du coup, son histoire souffre de longueurs terribles, pendant lesquels on nous explique que les femmes sont mal traitées et que les plus hautes figures officielles y sont mêlées : on ne s’en doutait pas du tout. Pendant ce temps là, l’histoire est complètement laissée de côté. On a donc d’un côté une sorte de long article de presse, sauf qu’il est fictif et perd donc la majeure partie de son intérêt, et de l’autre une histoire-prétexte, qui aurait pu être très bien, mais qui est totalement sacrifié au véritable objet du livre.

 

La deuxième partie du livre, heureusement, décolle un peu plus, avec l’enquête policière et les révélations qui s’enchaînent. Mais ça en devient également un défaut. Car sous peine de nous faire un maxi pavé, Larsson n’a maintenant plus trop de pages pour nous dérouler ses révélations, et celles-ci s’enchaînent donc si vite qu’on a à peine le temps de s’en étonner. D’ailleurs, une partie de ces révélations sont un peu vieilles comme le monde, et on le sent un peu venir depuis un moment. D’autres éléments de l’histoire, eux, sont carrément ridicules et absolument pas crédibles (mais bon, chut, pas de spoiler). Qui plus est, le bouquin se termine quasiment en pleine action, avec la moitié des questions restées en suspend, ce qui en appelle, lourdement et artificiellement, au tome 3.

 

Au final, donc, j’ai la sensation d’une trilogie forcée, lorsque 2 tomes auraient largement suffit (mais forcément, un livre et une suite, ça fait moins hype qu’une trilogie). Je suis tellement en boule que je n’en ai presque pas envie de lire le 3ème tome, si c’est pour encore me farcir 300 pages de bla-bla journalistique suivi de 400 pages d’une histoire à l’arrache toute bousculée. Cela confirme tout le bien que je pense des best-sellers, ça n’est vraiment pas gage de qualité…

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30 janvier 2011 7 30 /01 /janvier /2011 17:09

La Nuit des temps, roman de science-fiction de René Barjavel (1968)


L’histoire : Le Dr Simon travaille en antarctique avec une équipe de géologues qui mènent une expédition de routine. Mais ils captent un signal étrange sous les kilomètres de glaces. Sous les yeux du monde entier, rivé à ses télévisions, les scientifiques vont creuser dans le sol gelé jusqu’à ce signal, cette structure antique, ce couple étrange endormi dans la glace depuis des décennies…

 

http://ecx.images-amazon.com/images/I/418Y25Z5JQL._SL500_AA300_.jpg


Mon avis 


A la fois science-fiction et conte légendaire, ce roman tient en haleine et émeut avec ce récit croisant les impressions du Dr Simon et les souvenirs de la belle éléa, cette héroïne tragique digne de Shakespeare, qui permet de superposer la Guerre Froide avec la guerre des anciennes nations Gondawa et Enisoraï, qui renversèrent le monde il y a des milliers d’années…

On se prend à regretter que le film ne se soit jamais fait, Barjavel ayant à l’origine écrit un scénario.

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4 janvier 2011 2 04 /01 /janvier /2011 19:13

 Les hommes qui n’aimaient pas les femmes (Millénium 1), roman policier de Stieg Larsson

Traduit du suédois par Lena Grumbach et Marc de Gouvenain

 

http://www.mollat.com/cache/Couvertures/9782742761579.jpgL’histoire : en plein scandale judiciaire, le journaliste économique Mikael Blomkvist est embauchée par le riche industriel Henrik Vanger pour enquêter sur la disparition de sa nièce Harriet, 40 ans plus tôt. Il est bientôt secondé dans son enquête par Lisbeth Salander, jeune femme étrange et torturée, mais fouineuse hors pair. Ce qu’ils vont découvrir aurait peut-être dû rester un secret…

 

Mon avis : j’avais déjà vu le film Millénium avant de me plonger dans ce polar nordique, alors que d’habitude, dans ces cas là, je m’emploie à faire l’inverse. J’ai apprécié de découvrir dans le livre une intrigue plus fouillée que dans son adaptation, mais j’ai moins accroché à la partie scandale financier, beaucoup plus développée, et plus à la partie enquête policière, même si je connaissais déjà la clé de l’énigme. J’ai cependant « sauté » certains passages, les plus violents, n’éprouvant pas spécialement le besoin d’ajouter de nouvelles images ni de nouvelles informations à celles que le film m’avait déjà fournie à ce sujet.

 

Quand au style de Larsson, j’ai trouvé par moment qu’il manquait de fluidité, lorsque son style habituel (il était journaliste) remonte et interrompt brusquement le récit dans des apartés, certes intéressants, mais qui arrivent un peu comme un cheveu sur la soupe. J’ai trouvé cela un peu dommage, car à des moments clés, cela me faisait totalement décrocher.

 

Je compte faire une petite pause avant d’enchaîner sur le deuxième tome de la trilogie.

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30 décembre 2010 4 30 /12 /décembre /2010 15:53

L’école expliquée aux parents … aux élèves et (surtout) aux profs, de Pierre Antilogus et Jean Louis Festjens

 

http://ecx.images-amazon.com/images/I/41B0G89JHTL._SL500_AA300_.jpgLe concept : encore une fois, tout est dans le titre, un guide de l’éducation nationale pour les parents, les élèves et les profs. Pourquoi les profs sont-ils formidables ? Peut-on adhérer à une association de parents d’élèves si on n’a pas d’enfants ? Comment savoir avant tout le monde si Biquet va redoubler ?

Les réponses à toutes ces questions, et bien d’autres, sont dans ce guide !

 

Mon avis : à Noël, j’aurais volontiers offert ce guide humoristique (dans la lignée du Guide de survie au bureau) à mes proches qui officient dans l’éducation nationale. Malheureusement, il n’est plus édité. Nul doute que les 12 types de profs (le gros qui s’endort, la pédagogue fervente, le coco barbichu, Mlle je craque, le fondu d’informatique, la prof canon, le copain, la vachement sévère, l’incompris, la jargonneuse, le prof d’histoire révisionniste, et la Miss vieille école), les 28 types d’élèves, et les citations de Françoise Dolto et des cahiers du CREN (« le pédagogue de l’hermétique du dedans des sciences de l’éducation ») les auraient bien fait rire.

 

Cependant, certains passage on mal vieilli, la réalité ayant depuis dépassé la fiction : la fin de l’orthographe avec la « méthode globale », les parents qui refusent le redoublement, les coups de règles sur les doigts des élèves remplacés par les coups de couteau dans le bide des profs, etc.

 

Mais ce vrai-faux guide reste une lecture plaisante et amusante, pleine d’humour et de second degré. Et le pire meilleur, c’est que j’en ai d’autres sous le coude…

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13 décembre 2010 1 13 /12 /décembre /2010 20:43

http://chantalserriere.blog.lemonde.fr/files/2007/10/ravage.1193499484.GIFRavage, roman de science-fiction de René Barjavel (1943)

 

L’histoire : Paris, 2052. Alors que Blanche s’apprête à devenir une star de Radio-300 et que son ami François attend ses résultats de l’école d’ingénierie en chimie agricole, l’électricité disparait tout à coup. Dans une France où tout dépend des machines électriques, la société sombre rapidement dans l’anarchie et la chaos…

 

Mon avis : roman d’anticipation écrit en plein occupation, Ravage reste une œuvre marquée par son époque, avec sa profonde méfiance envers le progrès et son éloge du retour à la terre. Le style de Barjavel, loin d’être encore affirmé, y est parfois un peu sec et brutal, presque expéditif.

 

Reste une description qui reste très actuelle d’une société qui perd tous ses repères et sombre très brutalement dans la barbarie la plus primitive.

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7 décembre 2010 2 07 /12 /décembre /2010 21:36

http://www.decitre.fr/gi/58/9782266190558FS.gifL'Etrange histoire de Benjamin Button, nouvelle de F. Scott Fitzgerald

Traduit par Dominique Lescanne

 

L'histoire : Quel étonnement pour M. Roger Button lorsqu'à l'hôpital, on lui présente le berceau de son fils Benjamin. Il contient en effet un vieillard barbu qui l'accueille de fort méchante humeur... Le mystère continue au fil des ans, lorsque Benjamin semble "vieillir jeune".

 

Mon avis : j'ai été très surprise par le ton de cette nouvelle, qui n'a strictement rien à voir avec son "adaptation" cinématographique (un drame de David Fincher avec Brad Pitt dans la peau de l'homme qui rajeunit). On est plutôt dans le comique de l'absurde, ce qui est d'autant plus déconcertant que la nouvelle est très courte. Une courte lecture assez rafraichissante.

 

 

Un Diamant gros comme le Ritz, nouvelle de F. Scott Fitzgerald

Traduit par Dominique Lescanne

 

L'histoire : John Unger est bien heureux d'être invité par son ami d'école Percy Washington à passer l'été chez lui. Celui-ci prétend que son père possède un diamant plus gros de l'hôtel Ritz-Carlton. Un secret qui a de lourdes conséquences...

 

Mon avis : On passe encore un cap dans l'absurde avec cette histoire délirante de mégalomane prêt à tuer pour protéger sa richesse. Le meilleur étant que Fitzgerald ne pose à aucun moment la morale, se positionnant du point de vue assez passif de John. C'est à nous d'en tirer les leçons qu'on en veut...

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19 novembre 2010 5 19 /11 /novembre /2010 14:53

http://www.decitre.fr/gi/89/9782258041189FS.gifGuide de survie au bureau, de Pierre Antilogus et Jean-Louis Festjens

 

Le concept : tout est dans le titre, un guide de survie  pour les employés de bureau. Quels sont les meilleurs prétextes pour arriver en retard, rester à la maison, avoir du rab de frites à la cantine ? Comment s'adresser à un commercial sans risquer qu'il vous agite sa gourmette à la figure ? Des questions qui se posent dans tous les bureaux, et qui trouvent ici enfin leurs réponses.

 

 

Mon avis : Si vous travaillez dans un bureau (n'importe quel bureau. Du moment qu'il y a des trombonnes . Et des surligneurs. Surtout les verts), ce guide est fait pour vous. Vous êtes assurés de vous taper une bonne tranche de rigolade  avec ce vrai faux guide de survie à destination des employés de bureau. 


guidebureauVous  y trouverez les réponses à des questions hautement existentielles, comme celles ci-dessus. Vous apprendrez comment agrafer un dossier, le tamponner, le classer, et surtout comment s'en débarasser efficacement et durablement ;  comment transmettre les informations aux personnes concernées (ou pas) ; comment se repérer dans les couloirs (à droite), etc.

 

Et oui, vous vous croyiez seuls, mais ces maux sont universels, comme les réunions, les stocks mal ventilés et les jours fériés qui tombent un dimanche. Mais attention, ce guide est une ôde au bureau. Comme ils se plaisent à le répéter :


Le bureau, c'est beau !

Le bureau, c'est rigolo !

Vive le bureau !

 

D'ailleurs, le guide se conclue sur les "10 bonnes raisons d'aller (quand même) au bureau". Ma préférée reste la numéro 5 : "au bureau on a pas à essuyer la vaisselle ni à descendre la poubelle." Oui, je vis mal mon chômage.

 

Ma prochaine lecture, c'est ... un Barjavel, pour palier le manque signalé ici.



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11 novembre 2010 4 11 /11 /novembre /2010 19:37

http://aucoindulivre.fr/wp-content/uploads/2008/06/livre31.jpgVoilà que La Dame du CDI me tague avec "lister en moins de 15 minutes les 15 auteurs qui m'ont marquée, sans réfléchir, là, comme ça, cash". C'est chaud du slip, mais on va essayer...

 

Numéroté, mais sans ordre particulier que celui dans lequel ça me vient :

 

1/ John Irving

Je vous ai parlé de The Hotel New Hampshire, il y a aussi l'excellent The World According to Garp, ou Until I Find You...

 

2/ George Orwell

Bien sûr, mon sujet de mémoire sur Nineteen Eighty-Four, mais aussi Down and Out in London and Paris (Dans la dèche à Paris et à Londres) et bien sûr Animal Farm...

 

3/ Philip Pullman

Pour l'excellente trilogie His Dark Materials, dont il faudra que je vous parle un jour.

 

4/ JRR Tolkien

Je suppose que ça ne nécessite pas d'explication ?

 

5/ Shakespeare

J'ai pas encore tout lu, mais ça viendra !

 

6/ Emile Zola

Pour la série des Rougons-Macquart, en particulier Nana, Germinal, L'Assomoir...

 

7/ Bill Watterson

Pour Calvin et Hobbes. Oui j'ai le droit aux comic books, d'abord !

 

8/ Douglas Adams

Pour The Hitchikers Guide to the Galaxy et toutes ses suites

 

9/ Stephen Clarke

Pour A Year in the Merde dont je vous parlais ici.

 

10/ JK Rowling

Qui n'écrit pas si bien que ça mais qui a des super idées qui tuent.

 

11/ Lewis Carroll

Pour Alice of course.

 

12/ Roald Dahl

Pour Charlie, James, Matilda, les Sacrées Sorcières...

 

13/ Victor Hugo

Pour Les Misérables

 

14/ Naoki Urasawa

Pour 20th Century Boys, dont il faudra aussi que je vous parle un jour. Oui, j'ai aussi droit au manga.

 

15/ Argh, je coince. Barjavel ?

Pour le très beau L'Enchanteur, mais c'est le seul que j'ai lu de lui...

 

Et là, le drame, c'est de devoir taguer 15 personnes en retour... Je suis loin d'avoir 15 contacts bloggeurs !!

 

Killarney, Pralinette, Titite... euh, je sèche ! Donnez-moi vos blogs en commentaire, je vous tague avec plaisir !!

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